L’amour des félins est parfois tel qu’on en héberge à la maison, malgré des symptômes allergiques. Eternuements, irritation des yeux, inconfort... Selon la médecin de famille Stephanie Wolff, il vaut la peine de passer un test, dans ces circonstances, pour confirmer le diagnostic d’allergie aux chats et exclure toute autre source.

Le système immunitaire des personnes allergiques réagit aux squames (peaux mortes) et à la salive du chat. Celle-ci adhère au pelage et se répand dans l’appartement au gré des pertes de poils. Dans ces cas, la médecin recommande de ne surtout pas laisser l’animal arpenter la chambre à coucher, de se laver les mains après chaque contact et de nettoyer régulièrement la maison (en particulier les textiles et autres nids à poussière).

Conseil: Brosser le chat à l’extérieur du logement. Passer régulièrement l’aspirateur en utilisant un appareil avec filtre HEPA et utiliser un purificateur d’air également équipé (lire en page 28).

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