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Un père divorcé a commencé à douter de sa paternité à l'occasion de la fête de première communion de son fils. La ressemblance entre l'enfant et son parrain l'avait en effet troublé à ce moment-là. Il a cependant attendu près d'un an avant d'intenter une action en désaveu de paternité. Un délai trop long, estime le Tribunal fédéral, qui confirme le rejet de l'action par la cour cantonale. En effet, lorsque le délai ordinaire de cinq ans après la naissance a expiré, seuls d...
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