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Des époux sédunois, parents de trois enfants, ont remarqué qu'ils paient 15% d'impôts de plus que s'ils vivaient en union libre. Ils ont donc demandé à la commission cantonale d'impôt d'être fiscalement traités comme des concubins. Ils ont obtenu gain de cause. Mais du coup, l'instance de recours n'a pas accepté d'accorder au couple la réduction d'impôts de 30% (mais au maximum de 3000 fr.) octroyée notamment aux couples mariés et aux célibataires faisant ménage commun avec de...
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