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Une compagnie d'assurance avait voulu augmenter de 437 à 552 fr. le loyer d'un trois pièces neuchâtelois, invoquant l'exécution de travaux de rénovation. Refus du locataire. Après l'échec de la conciliation, les parties sont invitées à saisir le juge dans les trente jours. Le bailleur ne bouge pas, mais, quelques mois plus tard, signifie une nouvelle hausse de 548 fr., toujours en raison des travaux, et toujours pour le 1er octobre. Une telle demande est irrecevable, juge le Tribunal...
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