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Ecouter ou enregistrer une conversation téléphonique sans l'accord des participants est en principe punissable (art. 179 bis du Code pénal). Mais cela suppose que l'auteur de l'infraction ait initié lui-même l'opération d'écoute. De ce fait, cela n'empêche pas une personne en conversation avec une autre de tendre son portable à un tiers à l'insu de son interlocuteur.
(Arrêt 6S.64/2007)
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